Le Tutour Nicolas

Après trois années passées en école de communication visuelle à Paris, Nicolas Le Tutour commence sa carrière chez Publicis. Il se lance aussi comme modéliste dans l’illustration en volume. Puis, il lève la pâte et se laisse pousser les pinceaux. Il devient peintre puis illustrateur et se dirige peu à peu vers la Bande dessinée et le dessin humoristique.

Sous diverses signatures, tout à tour il crée des enseignes, réalise des trompe-l’œil, travaille comme dessinateur de Presse, expose ses toiles (lauréat du concours 2018 du Musée des Arts fantastiques de Bruxelles où son travail y est exposé). Il collabore à divers projets BD de signature "Niko", humoristiques pour certaines, historiques (jeunesse-adulte-tout public) pour d’autres. Il illustre des livres en édition papier et numérique dans des univers allant de la Science Fiction à la Fantasy.

Depuis 2015 il illustre aussi dans le jeu de rôle ; il était concept-artist pour un studio de production de jeux vidéos. Parfois il collabore avec des cabinets-conseil comme consultant-marque et supports de communication en entreprise ou en business school, ce qui lui a valu d’un collègue le surnom d’« illustrateur polymorphe ».

Nicolas est également dessinateur de presse pour le journal Le Télégramme, le magazine Le Peuple Breton, le magazine Insectes, Glad Breizh, Pif Gadget, Penn Bazh…

En 2020, il revient à ses premières amours et crée une collection d’huiles sur toile consacrées aux abeilles. Il expose sa première collection en mai-juin 2022, ce qui lui vaut une première distinction, un prix remis par la LPO. Depuis, il continue a réaliser des toiles sur ce thème qui lui est très cher. Nicolas Le Tutour a rejoint la Galerie d'art KERLUXY en septembre 2022 où ses toiles sont en vente exclusive.

 

 

Pour la toile ci-dessus, l'artiste s 'est inspiré de cette déclaration ", injustement attribuée à A. Einstein : "Si les abeilles venaient à disparaître, l'humanité n'aurait plus que quatre ans devant elle". Les scientifiques dès les années 70 ont nommé ceci le "Colony Collapse Disorder" (CCD), le syndrome d'effondrement des colonies d'abeilles. La toile montre un cadran solaire, dont les chiffres romains nous font croire à un grand nombre, alors qu'il s'agit des initiales du Colony Collapse Disorder. Le cadran indique l'heure fatidique de 23h58 de l'horloge de l'apocalypse, dont l'ombre frappe l'abeille qui s'est posée.


  

 

 

 

 

 

 

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